Caresse
d'air sous l'ombrelle ; vent léger et gazouillis dans l'arbre.
Une
musique lointaine sur des voix joyeuses.
Toi,
assise pour toujours sur ce fauteuil qui roule quand on le pousse, à
contempler je ne sais quoi là bas.
Toi
dans le temps immobile, les yeux pleins d'un sourire malgré tout.
L'attente
quand tout s'arrête même le corps et que vivre devient un défi
tranquille.
On
ne peut plus se dire à demain.
© texte propriété Joel Carayon
© texte propriété Joel Carayon
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