tu
ne veux pas voir flamber le monde
sur
le bord de la nuit,
quand
l’œil plonge dans l'océan,
les
rouges bleuissent,
le
soleil se drape de la sueur des cieux ?
Je
préférerais le Levant
qu'il
réchauffe de son sang
quand
le jour s'éclaire
d'un
espoir grandissant.
Quand
la vie commence.
Je
préfère les promesses d'un jour
au
bilan du soir qui sombre.
Texte, © Joël Carayon
Texte, © Joël Carayon